Par thierrydeparis
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recit gay de tom


Cela faisait plusieurs heures que je roulais à bord de ma voiture. Le voyage n’avait d’intérêt que pour ses paysages sur cette petite départementale. Depuis le début, je n’avais croisé que deux ou trois voitures sur cette route déserte.

Tout à coup, à la sortie d’un virage, une forme bizarre me surpris et m’obligea à freiner brusquement : un cycliste marchait, tenant son vélo à bout de bras dont un pneu semblait à plat. Au moment de le dépasser, je freina pour lui demander si il y avait un problème.

Je baissa la vitre du côté passager et vis un visage pénétrer dans l’habitacle. C’était un de ces visages virils, mal rasé, avec des mâchoires carrées. Il enleva alors son casque et je découvris une belle chevelure mi-longue d’un brun éclatant.

 

Je lui demanda si je pouvais lui venir en aide et il me rétorqua si le fait de l’emmener dans le prochain village ne me dérangeai pas. Je lui répondis que non et je lui fais signe de glisser son vélo dans le coffre. La prochaine localité était encore loin et nous devions rester quelques dizaines de kilomètres ensemble.

Le cycliste monta dans la voiture et nous démarions. Je lança aussitôt la conversation afin de faire tomber le blanc entre nous. Banalité oblige, on se présenta tour à tour. Mon invité se nommait Brian et était en première année de faculté. Agé d’a peine 20 ans, sa maturité physique m’étonna. Mais tout le blabla que je déblatérai n’avait qu’un seul but : calmer mes ardeurs. En effet, depuis ma rencontre avec Brian, mes yeux ne cessaient de balayer de haut en bas le corps du sportif : un torse moulé dans un tee-shirt dessinant des pectoraux et des biceps bien fermes, des cuisses énormes surmontées d’une entrejambe bien marquée. Bien entendu, je m’attardai longuement sur cette partie.

La réaction se fit peu attendre. Je sentais ma queue commencé à durcir dans mon jeans. Est-ce que Brian l’avait remarqué, je n’en sais rien ? Un moyen de savoir classique me venait en moi. Discrètement, je fis tomber un stylo sur mon fauteuil qui alla se caller entre mes cuisses. Me servant des virages comme excuse pour ne pas lâcher le volant, je demanda à Brian d’avoir la gentillesse de reprendre le stylo qui était malheureusement tombé. Je ne savais pas comment il allait réagir et ma surprise fût grande quand il s’empressa de glisser sa main entre mes jambes. Très vite il aurait pu récupérer l’objet perdu, mais cela ne se passa pas comme ça. De sa main, il commença à me caresser ma bosse à travers mon jeans. L’autre main, il la fit se diriger vers sa queue, qui elle, avait déjà enfler. C’était une double masturbation.


A croire que le jeune homme avait l’habitude puisqu’il s’empressa de me déboutonner la braguette. Ma queue, raide, était coincé dans boxer. Brian le tira et mon engin sortit brusquement de sa cachette. Quel bonheur ! Moulé dans mon jean, mon sexe était trop gonflé et je n’en pouvait plus.

Brusquement, Brian goba dans sa bouche ma queue alors que je continuais à conduire. J’étais hors de moi, mes yeux ne pouvaient plus se fixer sur la route et je décida de me stationner rapidement sur le bas-côté. Je lui fis signe de sortir de la voiture et de continuer nos affaires dehors et tant pis si des voitures passaient.

Je m’allongea sur le capot, le jeans et le boxer baissé et Brian continua son long travail de taillage de pipe tandis qu’il descendit son short cycliste. Je me redressa alors légèrement afin de pouvoir admirer cette longue tige qui me faisait face.

 

De ses bras musclés, Brian me retourna et j’y prenais plaisir. La face vers le capot, ma queue se plaque contre la voiture brûlante. Dès lors, Brian mouilla légèrement son gland et d’un coup de reins violent me pénétra. Cette douleur était jouissive et quelques à-coups plus tard, je me sentis éjaculer sur ma voiture. C’est à ce moment là que j’ai cru voir une voiture passer.

Pendant ce temps là, rien ne semblait pouvoir déconcentrer mon pénétreur. Ses va-et-vient consécutifs me limait littéralement mon cul ce qui me faisait rebander. J’étais comme dans un autre monde et je ne me rappelle plus le nombre de fois où le sperme a coulé de ma coup.


Le retour à la réalité se passa lorsqu’il s’extirpa de moi tout en continuant à me plaquer sur la voiture. D’un bref coup d’œil vers l’arrière, je le vis en train de se branler. Sa respiration haletante était de plus en plus intense, ses gémissement de plus en plus fort et c’est dans un râle puissant que Brian me gicla dessus. Du sperme avait réussi à atteindre mes cheveux.

Brian se coucha alors sur mon dos et son sperme rentrait en contact entre moi et son torse. Il se tortilla sur moi quelques minutes et je sentis que son érection avait disparu.

Sans bruit, nous remontâmes dans la voitures et quittions notre lieu de sexualité sauvage et bestiale.

 

a suivre


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